El semanario Golias dedica una parte de su número de ayer a nuestro pastor, el padre Jorge, a quien considera definitivamente "grillado", es decir, quemado en sus aspiraciones papabiles.
Parution : 5 mai 2010
PAPABILE : Rattrapé par son passé sous la dictature, le cardinal
de Buenos-Aires (Argentine),
Mgr Bergoglio, définitivement « grillé »
Par Romano Libero
Né en 1936, l’archevêque de Buenos Aires, le cardinal Jorge Bergoglio, aurait raisonnablement encore pu faire office de papabile très possible. C’est un modéré, classique, « spirituel », cultivé et nuancé, vivant simplement et en retrait par rapport au tournant de la restauration ratzingérienne. Pondéré dans ses jugements, il fait figure d’homme de consensus.
« Aurait pu » car ce cardinal qui aurait été le premier Pape d’Amérique latine est aujourd’hui compromis de façon définitive par des révélations concernant son passé lors des dictatures militaires. De sorte qu’une élection à la papauté devient très improbable. A moins que le Sacr" Collège ne souhaite que le prochain pontificat ne commence très mal...Ce qui après les remous médiatiques de celui serait du plus mauvais effet.
Au travers d’un livre récent « El Jesuita - Conversaciones con el cardenal Jorge Bergoglio » de Sergio Rubin e Francesca Ambrogetti, le cardinal Bergoglio a sans doute tenté de redorer son blason et de contester les sérieuses accusations qui pèsent contre lui quant à sa conduite alors qu’il était provincial de la Compagnie de Jésus en 1973 et 1979. Suite aux accusations de deux prêtres Orlando Yorio et Francisco Jalics qu’il aurait remis aux autorités militaires. La défense de Bergoglio semble empruntéé. di Jalics.
Selon sa propre version, Bergoglio aurait conseillé à ces deux prêtres, religieux jésuites comme lui au demeurant (!) de « faire très attention » en raison de leur réputation de subvertir l’ordre social. C’est à dire qu’il aurait cherché à les protéger de la police dictatoriale qui ne pouvait que les poursuivre suite à leur engagement parmi les pauvres des bidonvilles de Bajo Flores. Toujours selon sa propre version, alors provincial de la Compagnie, il aurait proposé à Yorio et Jalics de venir vivre tranquillement et discrètement dans la maison Provinciale (ce qui voulait dire au passage abandonner leur mission auprès des plus pauvres).
N’écoutant que leur courage, Yorio et Jalics persévérèrent dans leur ministère. Ils furent finalement enlevés, comme on pouvait s’y attendre.Selon Bergoglio, il aurait alors cherché à obtenir leur libération. Et à les protéger.
Cette version n’est cependant pas la seule ! Et n’est pas celle de nombreux témoins, ni celle des intéressés.
Sans oser les accuser en face Bergoglio se faisait volontiers et perfidemment l’interprète des accusations d’autres prêtres et d’évêques. Qui démentaient quant à eux les avoir émises. Un jour, le père Bergoglio (il n’avait pas encore coiffé la mitre) recommanda aux deux religieux turbulents de s’adresser à l’évêque de Moron, Mgr Miguel Raspanti. Leur affirmant qu’ils pourraient trouver refuge dans le diocèse de ce dernier. Or, en réalité, il écrivit lui-même une lettre à Raspanti terriblement négative à l’endroit des deux religieux ! L’art du double jeu en somme. Le brave Raspanti chercha pourtant à protéger et à cacher les deux prêtres. C’est Bergoglio qui l’en aurait alors dissuadé. Ce sont les calomnies répétés par Bergoglio qui empêchèrent aussi aux deux religieux d’être accueillis dans le diocèse de Buenos Aires ou d’être incardinés à Santa Fe.
Après leur libération, Yorio se rendit à Rome où le jésuite colombien Candido Gavina, très bien informé, lui apprit, de source autorisée (l’ambassadeur argentin près le Saint-Siège) que les forces armées avaient arrêté ces deux religieux suite à la plainte de leurs supérieurs religieux qui les présentaient comme des guérilleros. L’Ambassadeur argentin confirma même cette information par écrit !
En ce qui concerne Jalics, il se réfugia par la suite aux Etats Unis. Bergoglio s’opposa à son retour en Argentine ! Et il le fit savoir aux évêques argentins susceptibles d’accueillir le religieux dans leur diocèse. Qui plus est, il alla même jusqu’à conseiller à Anselmo Orcoyen, le directeur national du culte catholique, de refuser la demande de passeport avancée par Jalics ! Un document existe à cet égard.
Bergoglio se défend en disant que ces méchantes affirmations visent à discréditer sa candidature comme papabile. Pour noyer son chien il faudrait l’accuser de la rage ! En fait, quelle que soit l’intention ce sont les faits qui parlent. Et très clairement. Dans une biographie très documenté du cardinal, avec des preuves à l’appui, Horacio Verbitsky en a établi la véracité.
Sans doute, lors du dernier Conclave où il avait ses chances d’être élu, Bergoglio incarnait-il une ligne plus ouverte que celle de Ratzinger. Avec le hondurien Oscar Rodriguez Maradiaga et le brésilien Hummes. En comparaison du cardinal de l’opus dei, Mgr Juan Luis Cipriani Thorne, il est vrai qu’il n’est pas difficile d’incarner l’ouverture parmi les papabili d’Amérique. Aujourd’hui c’est l’archevêque de Sao Paulo, le cardinal Pedro Odilo Scherer qui peut fait figure d’étoile montante. Bergoglio est semble-t-il définitivement grillé. Quant à Rodriguez Maradiaga, son soutien au putsch droitier dans son pays fait qu’il est plus difficile de le considérer comme un papabile « de gauche », ou du moins social.
Ceux qui misèrent jadis sur Bergoglio, présenté un peu rapidement comme un nouveau Luciani parce qu’il prenait les transports en commun et vivait simplement, habillé comme un prêtre de base et non comme un prince de l’Eglise avaient oublié que provincial des jésuites il combattait la ligne Arrupe. D’ouverture. Et qu’il dut une promotion épiscopale à cinquante ans largement écoulés, inattendue, au soutien amical du cardinal Antonio Quarracino, son prédécesseur à Buenos Aires. Un ultra-conservateur.
Recordaba los post del año 2008 y su visión del "campo" como depósito de cierto catolicismo. No olvido la famosa foto de los dirigentes ruralistas arrodillados en una misa de campaña. Ayer Ulises Forte, diputado UCR La Pampa, ruralista vice presidente de la FAA votó a favor del putinomio. Y así varios más. ¿Qué me cuenta don Wanderer? Reconozca que la pifió
ResponderEliminarMenos mal, hubiese terminado en el sedevacantismo...
ResponderEliminarWanderer, decime quien de esa generación resiste una carpeta?
ResponderEliminarAl antístite lo detesto por progre, no por ser un ex-facho que vive lleno de culpa su pasado. Eso es deprimente nomás...
Porque si nos ponemos duros con el Ingeniero, también deberíamos hablar de la cantidad de obispos y curas terroristas que hoy están libres.
¿No te parece que es horrible cómo esos degenerados arrastraron almenos dos generaciones de jóvenes católicos al terrorismo?
La hija del general viola, oberdam salustro, la familia del coronel day, los oficiales del comedor de la PFA, etc. ¿Son muertos de segunda, que tipos vivos y "bien vivos" como jalics deben llorarse antes?
Carlos Guevara
Golias no es ni progre ni parecido , es simplemente m....a , basura , porqueria en el mejor del caso.
ResponderEliminarLa palabra " Golias " eligida a propósito por el dueño( que sabe lo que hace ) de esa revista es muy significativa .Es un anagrama de una palabra francesa que quiere decir ...........Dejo a los lectores el placer de buscar la enigma el significado
L’association par amalgame de Bergoglio avec Quarracino est définitive!
ResponderEliminarQuarracino = Bergoglio = ultraconservateur !!!
Le pire des péchés !!! et par malheur pour ses aspirations, le seul pêché sans pardon pour le progressisme.
La conclusion va de soi : bergoglio est grillé
Typique opération de presse « made in Golias »
CP
Conociéndolo a Bergoglio, debe ser mentira... sino algo bueno habría hecho!
ResponderEliminarSaludos,
AMM
Golias es basura de la peor especie. Totalmente de acuerdo. Pero, en este caso, la basura favorece a la buena causa: obstaculizar los devaneos papales de Bergoglio.
ResponderEliminarSi Bergoglio hizo durante la dictadura lo que dicen que hizo, y que él niega, por cierto que bien hecho está. Pero en estos momentos resulta funcional a la buena causa la línea Verbinsky - Golias.
Creí que no era necesario explicarlo en el post...
La ley del péndulo no pasa. Es casi como un postulado de la razón práctica, como un axioma del espíritu modernista.
ResponderEliminar"El tradicionalismo conservador deviene en muchos casos en progresía barata".
Recuerden los casos Lamennais y Maritain.
Recuerden la disputa de Caponneto y Torres Pardo, a raíz de la mención del primero de ciertas "cartas" de felicitaciones del segundo a raíz de la publicación del "Deber cristiano de la lucha". No que B haya sido verdaderamente conservador: una mera mascarilla nomás. Pero es verdad que un principio B era considerado "conservador" dentro de Compañía.
Lo sorprendente del asunto es su paulatino ascenso hacia las cumbres Cardenalicias. Bergoglio era un don Nadie, un limpia baños de San Miguel, al decir del tío Fredi. Y en un tiempito, cardenal.
Evidentemente, promovido con astucia por los titiriteros del Magno.
Cacho de espanto se van a pegar dentro de poco cuando se enteren de lo que pudo llegar a hacer un tradicional famoso nuestro. Y recordarán lo del axioma que les digo.
Verbitisky hasta tuvo el buen tino de escribir por pimera vez sobre el tema en Página 12 -y publicar un libro- antes y durante el cónclave papal del 2005. Y el libelo circuló en Roma y entre los cardenales progres, por obra de Sodano et al. Dios escribe recto con renglones torcidos...
ResponderEliminarMe pregunto ¿Hubiéramos tenido Motu Proprio, levantamiento de las excomuniones y diálogo teológico con Roma con un Papa distinto a Ratzinger (sin hablar de la condena de Maciel, que también es muy importante y vinculado a una mentalidad que debe romperse por bien de la Iglesia)? Creo que no, con ningún otro cardenal devenido en Papa. Solamente Ratzinger pudo hacer lo que ya se hizo (y veremos que más se hará) y no por gracia del cargo (no existe tal cosa), sino por designio de la Providencia y del carácter individual de Ratzinger, parangonable al de Pablo VI pero de signo inverso.
Ambos son probablemente los papas más cultos del último siglo, siendo Pablo VI una mentalidad tradicional en rompimiento con la tradición, y Benedicto XVI una mentalidad moderna enraizada en la Tradición.
Saludos,
Ludovicus dijo,
ResponderEliminarBueno, Bergoglio no será Rampolla, ni Verbitzky el Emperador de Austria, ni Ratzinger el cardenal Sarto, pero al Espíritu Santo, decía Anzoátegui, le gusta emplearse a fondo.
Malachi Martin dijo:
ResponderEliminarGracias a Dios que este sujeto está "grillado". Esperemos que la Providencia lo grille más todavía, o el mundo corre el riesgo de que le hagan prender velitas estúpidas a las tres de la tarde...
El reporte que hace "La Nación" del acto impío realizado hoy en Luján es de antología:
"Más tarde, Osvaldo González Prandi, de la Acción Católica Argentina, y su esposa leyeron la oración de consagración a la Virgen, a los pies de cuya imagen dejaron un ejemplar de la Constitución Nacional.
La celebración ciudadana siguió con un gesto de convivencia interreligiosa, con el testimonio del dirigente judío Raúl Alberto Woscoff, el empresario de fe islámica Omar Abu Arab, la metodista Amanda de Paoli de Pécora, y el obispo católico Carlos Malfa.
Después de un diálogo sobre valores entre el fraile Mamerto Menapace y el cuentista Luis Landriscina, el director ejecutivo del Departamento de Laicos (DEPLAI), leyó el "Manifiesto de la esperanza" y se representó la obra teatral "Belgrano, El Musical", a cargo de grupo Banuev.
El cierre del acto fue con el Himno Nacional argentino."
Creo seriamente que J.B. y la veintena de secuaces que lo acompañó, más los organizadores de semejante adefesio, padecen de exceso de dopamina en el área subcortical...
-M.Martin -
Conservador el obispejo local? como en las épocas en que recibía un día de la semana a descamisados y el otro a guardia de hierro en Tucumán y Callao?
ResponderEliminarConservador Quarracino? (si ya se, publicó ese panfletito de 2 pesos sobre el Padre Castellani, no me corran con esa). Quarracino? el que yace junto a los pedazos de Talmud que él adhirió, profanante, a la catedral metropolitana?
Sería buen oque evitáramos el tema del papabilismo de Bergoglio, Sodano o quien fuera. Sería más factible que Joaquín de la Torre renueve el cargo y, además, estoy convencido de que sería infinitamente más dañino...
Dejo una picando si alguien se me planta: si algún curita X de una congregación X se comiera un pebete X y X lo acusara por tal horror. A posteriori, si X medio lo publicara en el resumen de la tarde, diario matutino o lo que fuera y X obispo o cardenal lo tapara, que pasaría con todo el cúmulo de gente del palo que quedaría en el offside más terrible que haya sufrido en su vida?
Hago el planteo porque me preocupan cristianamente los muchachos del posible offside, no por la congregación que, sinceramente, parece un mal sueño de Pol Pot.
Que dicen?
M. le Professeur
ludovicus dijo,
ResponderEliminaralgo realmente entrópico esta celebración del Bicentenario. La velita, la Constitución, la competencia con el Radrizzani, el empleo homilético de un tema con gancho (los pobres).
Recuerda a la religión de Mercer en el libro de Dick - Do androids dream with electric sheep? Pero esa al menos era una religion perseguida.
Ludovicus dijo,
ResponderEliminarM. le Professeur, la experiencia muestra que en el "hipotético" caso que Usted plantea, una vez que la prensa secular toma un tema de esos, no lo suelta más. Los que a la larga quedan en off side son los empecinados defensores que salen a hablar de "complot contra la Iglesia" y "calumnias de resentidos.
Un cardenal, un príncipe de la Iglesia, que en menos de un mes utiliza expresiones tan bajas como "merca" (por cocaína) y "agacharnos" (por...), entre otras muestras de su limitado discurso guarango "para la gilada", sólo por eso ya se merecería ser depuesto. Habla mucho de miseria, pobreza, marginación, pero con sus gestos y palabras subestima hasta el insulto a quienes pretende interpretar. Bochornoso. Tanto la homilía (si así se la puede llamar) de Luján del sábado como la de ayer en la catedral de Bs. As., fueron para el olvido.
ResponderEliminarLamentable también que, entre decenas de obispos y sacerdotes el sábado en Luján, la única persona que habló de Dios fue una pastora metodista.
Malachi Martin, por un momento pensé que estaba copiando un pasaje de "Su Majestad Dulcinea", con Monseñor Panchampla al frente de las celebracioens.
ResponderEliminarA propósito, Ludovico, perdóneme que le cambie el tema pero nos podría hacer el favor de comentar esta joyita sobre el carisma de los Legionarios:
ResponderEliminarhttp://www.elperiodico.com/default.asp?idpublicacio_PK=46&idioma=CAS&idtipusrecurs_PK=7&idnoticia_PK=712366
Tal parece que ni siquiera ellos saben cuál es su carisma.
Ludovicus,
ResponderEliminarComparto absolutamente. In totum.
Ahora bien: el problema principal de la membresía de la congregación X sería, ante ese caso, su oficialismo kirchnérico y sus anteojeras dignas de 6 7 8. Mi pregunta venía por el lado de presuponer tales cuestiones, que presupongo. El día después como sería?
El Caminante ha dicho en el post anterior que la "actitud" es "reconocer los hechos y castigar a los culpables". ¿Sucederá eso? Que quiere que le haga... eso de "reconocer los hechos" me suena horrendo. No suena cristiano decir Oops!!!
M. le Professeur
Ludovicus dijo,
ResponderEliminarEfectivamente, el link de audio no tiene desperdicio. No tienen idea de qué cuernos es un "carisma". Una chantada.
La palabra definitiva, al respecto, la ha dado Wanderer en su inmortal post "La Segunda Revelación".
La misa de Luján no fue para darle culto a Dios.
ResponderEliminarSe le rindió culto a la Constitución Nacional, a la Democracia, al ataque a la corrupción, etc, etc.
Entonces fue, estrictamente hablando, una ceremonia idolátrica, como bien lo señaló el Carlista en lo de Fray Rabieta recientemente.
Malachi Martin dijo:
ResponderEliminarAnónimo de 11:15, yo también pensé que estaba leyendo en "Su Majestad Dulcinea" lo ocurrido en el Panlatreuticón... Pero no, era de verdad, ¡y en Luján!
Son una mersada deprimente...
-M.Martin-
Ludovicus dijo,
ResponderEliminarLas declaraciones del Santo Padre, poniendo el problema del abuso en la perspectiva de Fátima son de una relevancia extraordinaria.
Desmiente la versión juanpablina -afirmada por el mismo cardenal Sodano- de que el Mensaje se refiere al siglo XX y està básicamente cumplido. Reabre el interrogante sobre el contenido del Secreto, dado que por mucho que se lea la versión, no se encuentra el problema de la pederastia o de los enemigos internos de la Iglesia en ningún lado.
Por favor, Tollers, díganos algo.
Ludovicus dijo,
ResponderEliminarY qué sugestivo si recordamos las palabras de "aquel" cardenal, y a quièn cita:
"Hemos llegado así a una última pregunta: ¿Qué significa en su conjunto (en sus tres partes) el "secreto" de Fátima? ¿Qué nos dice a nosotros? Ante todo, debemos afirmar con el Cardenal Sodano: "...los acontecimientos a los que se refiere la tercera parte del "secreto" de Fátima, parecen pertenecer ya al pasado". En la medida en que se refiere a acontecimientos concretos, ya pertenecen al pasado. Quien había esperado en impresionantes revelaciones apocalípticas sobre el fin del mundo o sobre el curso futuro de la historia debe quedar desilusionado".
Ludovicus:
ResponderEliminarCuando lo leí en la Nación no lo podía creer.
Me acordaba de lo de Tollers en su página: "Execración de Fátima: 25
preguntas para los Cardenales Ratzinger y Bertone y Conjetura en torno al fraude del 26 / 06 / 2000".
Uno la primera vez que lo lee dice: "no, esto no puede ser, es demasiado".
Pero con el tiempo varias cosas van surgiendo y aclarándose.
Como explicar estas cosas sin creer en Dios?
Juancho.
Si le digo hoy :" mañana cae una bomba atómica " se van asustar .
ResponderEliminarSi le digo : " hace 65 años cayo una bomba atómica " ..ni se acuerdan ..ni se asustan .
Muchos esperaban una interpretación terrorifica del tercer secreto de Fatima , y es terrorifica , pero por desgracia de los interpretes de profecias pessimistas enfermizos de siempre ...........ya paso .
Anonimo de las 19:33:
ResponderEliminarY que me dice del Apocalipsis?
Para Ud también ya está todo cumplido?
Fijese la obra monumental de Castellani en "El Apocalypsis de San Juan" y (para mi mejor aún) "Los Papeles de Benjamín Benavides".
Guarda con dejar de esperar la "pronta" Venida de Nuestro Señor, y su triunfo sobre los poderes del mundo.
Juancho.
grillado vendrìa a ser rostizado?
ResponderEliminarHoy 13 de mayo aniversario de La primera aparición de Nuestra Señora a Fatima .A lo mejor todos los russos estan orando para la conversión de la Argentina .
ResponderEliminarAnonimo de las 19:33.
ResponderEliminar"se equivoca quien cree que la misión profética de Fátima ha terminado"
Benedicto XVI.
Me parece que no dice más por prudencia. A buen entendedor, pocas palabras.
Juancho
No es un gran aporte, pero les dejo un pequeño trabajito que me tomé con la Homilía de Bergoglio en Luján.
ResponderEliminarLa tarea es sencilla.
Con Ctrl.+ F vean cuantas veces Bergollo menciona las siguientes palabras en su homilía.
Dios
Trinidad
Padre
Hijo
Espiritu Santo
Cristo
Jesucristo
Jesús
María
Santo
Santa
Santísima
Caridad
Fe
Inmaculada
Pecado
Papa
Cielo
Purgatorio
Infierno
Vida (Eterna)
Amor
Homilía del Cardenal Bergoglio en la Celebración del Bicentenario - Luján, 8 de Mayo
Aquí en Luján hubo un gesto de la Virgen y nos hace bien recordarlo: en 1630 una pequeña imagen de la Pura y Limpia Concepción, se quedó. Iba a otra parte la caravana, pero la Virgen provocó la parada.
Desde ese momento en este lugar hubo visitas, peregrinaciones, encuentros con la Virgen. Desde ese momento la Patria tuvo madre. La imagen, al principio, estaba en una taperita, después una iglesia... y hoy la Basílica tan linda y tan cuidada.
Aquí aprendimos a detenernos y recibir vida. Aquí junto a la Madre de Jesús venimos a descansar, a confiarle la vida de otros, la vida que muchos fueron cargando en la peregrinación, en el silencio y la oración por el camino. Aquí el pueblo sencillo y creyente de nuestra patria fue creciendo también en algo tan característico del lugar: la solidaridad y la fraternidad. Y con este modo simple, de encuentro y silencio armó nuestra Madre el santuario: esta es la Casa de los argentinos. La Patria, aquí, creció con la Virgen; la Patria aquí tiene a su madre.
¡En esta su Casa de Luján cuántos vinieron a recibir la fe en el bautismo, a cumplirle promesas o a confiarle su necesidad, sus dolores o sus problemas! Por el templo anterior a esta Basílica, cuando la Patria empezaba, pasaron San Martín y Belgrano al principio y al final de sus campañas. Pasaron ellos, como muchos, en medio de la gloria, y cuando quedaron solos y olvidados, le confiaron su tristeza. Sabían que la Patria tenía Madre.
Hoy es su fiesta, al celebrarla a Ella que recoge las visitas y las oraciones de los hijos, le pedimos aprender a ser como el Negro Manuel, silenciosos observadores de la vida y el camino de esta Patria, y a rezar por ella con la fidelidad del pueblo que intuye esta presencia de madre y por eso confía. Somos parte de esta historia del milagro que continúa y se sigue escribiendo. A ella también le pedimos la gracia de saber trabajar por la Patria, hacerla crecer en la paz y concordia que nos da el sentirnos hermanos, desterrando todo odio y rencor entre nosotros.
En este lugar tan santo, lleno de fe y esperanza, pedimos hoy a la Madre que cuide a nuestra Patria. En particular a aquellos que son los más olvidados, pero que saben que aquí siempre hay lugar para ellos. Así fue desde el principio: la Virgen cuidó desde muy adentro del corazón a esta Patria, comenzando desde los más pobres, los que para los suficientes no cuentan... pero aquí sí que son tenidos en cuenta. Por ello a los hijos de la Virgen de estas tierras nunca les falta la protección de nuestra Madre.
En Luján hay un signo para nuestra Patria: todos tienen lugar, todos comparten la esperanza y todos son reconocidos hijos. Hoy vinimos a rezar en esta fiesta de la Virgen, en este año Bicentenario, porque aquí crecimos y aquí nuestra Patria siempre tuvo una bendición, porque tiene una madre. No tenemos derecho a aguacharnos, a bajar los brazos llevados por la desesperanza. Recuperemos la memoria de esta Patria que tiene madre, recuperemos la memoria de nuestra Madre. Miremos a la Virgen y pidámosle que no nos suelte de su mano. Gracias Madre por quedarte con nosotros.
Para Juancho .......una pregunta
ResponderEliminarEsta esperando la pronta venida ¿la primera o la segunda ?
hablando de los grillados, resulta llamativo que nunca se habla de la cobertura que les da a los trolos en su diócesis.... da para pensar.
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